Transpalette : guide, comparatif prix et conseils

Le transpalette est l’équipement de manutention le plus simple et le plus répandu dans les secteurs tels que la grande distribution, le transport et le stockage de produits. Pourtant, choisir le modèle adapté à son besoin peut vite devenir un casse-tête. 

Transpalette manuel ou électrique ? Avec ou sans pesage ? Transpalette ou table élévatrice ?

Faisons le point sur le transpalette : comparatif des différents modèles, entretien, habilitation et prix d’achat, pour choisir un transpalette sur des critères objectifs. 

transpalette

Caractéristiques du transpalette

Un transpalette, qu’on trouve aussi sous la dénomination tire palette, est un chariot sur roues équipé de fourches permettant le levage de palettes de manutention et leur déplacement sur de courtes distances. 

Il est donc caractérisé par ses deux bras de fourche, surélevés d’une vingtaine de centimètres par rapport au sol, à glisser sous les palettes pour les déplacer. L’opérateur n’a aucun effort à appliquer sur l’appareil pour soulever les charges.

C’est un appareil de manutention compact et pratique, qu’on trouve dans de nombreux entrepôts ou commerces.

Il en existe différents modèles, selon leur motorisation, la hauteur de levée ou la longueur des fourches.

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Quel est l'intérêt du transpalette ?

Outre le déplacement et le transport de marchandises entreposées sur palettes, certains modèles de transpalettes présentent une valeur ajoutée non négligeable.

Les avantages du transpalette peseur

Le transpalette peseur est un transpalette équipé d’une balance intégrée, ce qui permet de transporter et de peser simultanément les charges. L’opérateur n’a plus à utiliser deux appareils différents. Ce gain de temps et de productivité en fait un des modèles de transpalettes les plus utilisés.

La plupart des transpalettes peseurs disponibles sur le marché proposent des améliorations supplémentaires par rapport au transpalette manuel (systèmes de freinage ou de levage hydrauliques, commande électrique, etc.). 

Selon le modèle, ils peuvent soulever des charges de 600 kg à 5 T. Ils sont capables de peser les charges avec une marge d’erreur de 0,1 %.

La table élévatrice

La table élévatrice est un autre appareillage de manutention prisé par les industriels.

Elle est composée d’un cadre-support fixe ou mobile, sur lequel repose une plateforme supportant la charge et un système de levage vertical en ciseaux actionné par un ou deux vérins hydrauliques.

Très simple d’utilisation, elle permet la manutention de charges palettisées ou non jusqu’à 1,5 T selon les modèles, tout en soulageant le dos des opérateurs.

Le mouvement est produit par l’injection de fluide dans le circuit hydraulique. Lorsque le liquide est envoyé dans les vérins hydrauliques, les ciseaux s’écartent par l’effet des cylindres hydrauliques et des roulements encastrés dans le support. Pour abaisser la table, le liquide est évacué par l’ouverture d’une soupape, et le mouvement se produit dans le sens inverse.

Le choix d’un type de table élévatrice doit se faire en accord avec l’usage préférentiel. Certaines peuvent être équipées d’accessoires pour rouleaux, par exemple. D’autres permettent d’incliner la plateforme ou de la faire tourner.


Il faudra également déterminer la hauteur de levage souhaitée pour choisir l’élévateur à ciseaux le plus adapté (simples ou doubles ciseaux, de 1 m à 1,5 m en général).

Quelles sont les différences entre un transpalette électrique et manuel ?

Le transpalette manuel

Le transpalette manuel est un appareil de levage actionné par un opérateur. Le dispositif de levage s’active par pompage manuel sur le timon ou grâce à une pédale.

Un transpalette manuel permet de lever des palettes de l’ordre de 30 cm, de façon à les déplacer horizontalement. Quelques rares appareils ont une hauteur de levage maximale de près de 1 m. Généralement, leur capacité de charge ne dépasse pas 1 à 2 T.

Ce type de transpalette est idéal pour les petits espaces à sol non glissant. Il ne peut pas être utilisé sur des planchers inclinés de plus de 10 %.

Le transpalette électrique

Le transpalette électrique est conçu de la même façon que son équivalent manuel : un tablier vertical et une fourche. La différence vient du système de levage qui comporte un moteur électrique alimenté par batterie.

Sa capacité maximale de charge peut atteindre les 3 T.

Il doit être utilisé sur sol lisse et aménagé ou sur des rampes avec une pente maximale de 5 à 10 %.

Les transpalettes électriques permettent de déplacer des charges sur de plus longues distances que les appareils manuels, mais ils sont aussi plus encombrants.

Les transpalettes électriques peuvent être à conducteur accompagnant ou conducteur porté. Dans ce dernier cas, l’appareil est muni d’une plateforme sur laquelle se positionne le conducteur et d’un poste de commande pour piloter l’engin.

Le choix d’un transpalette manuel ou électrique devra donc se faire en fonction de l’utilisation prévue : poids de la charge, distance à parcourir, espace disponible au poste de travail...

Comment utiliser un transpalette ?

Comment utiliser une table élévatrice électrique ?

Une table élévatrice fonctionne simplement : elle sert uniquement à lever ou abaisser la charge déposée sur son plateau. Certains modèles montés sur roulettes permettent de pousser la charge d’un endroit à un autre. D’autres autorisent la rotation du plateau.

Pour lever ou abaisser une charge :

  1. 1
    S’il s’agit d'un modèle équipé de roues, caler la table à l’aide des freins.
  2. 2
    Déposer la charge sur le plateau.
  3. 3
    Actionner la pédale, l’interrupteur ou la manivelle selon le modèle afin de faire monter ou descendre la table à la hauteur désirée.

Important : une table chargée s’abaisse plus vite qu’une table à vide. Prendre toutes les mesures de sécurité en manipulant une table lestée.

Une formation simple, en général dispensée dans l’entreprise en tant qu’apprentissage du poste de travail, est suffisante pour maitriser le fonctionnement d’une table élévatrice. Les règles de sécurité devront tout de même être rappelées et l’opérateur devra se munir d’équipements de protection individuels (gants et chaussures de sécurité).

Dans quel sens manœuvrer un transpalette ?

Selon la distance et l’agencement de la zone à parcourir, l’opérateur aura tendance à pousser ou à tirer son transpalette.

En effet, sur une longue distance ou une ligne droite, il est plus aisé de tirer l’appareil.

Au contraire, il sera préférable de pousser le transpalette lorsque le trajet est encombré.

Cependant, d’un point de vue purement sécuritaire, l’opérateur devrait pousser le transpalette en toutes circonstances.


Cela permet notamment d’éviter les accidents du travail tels que choc ou écrasement des membres inférieurs. On réduira aussi les troubles musculo-squelettiques dus à une mauvaise posture ou des efforts répétés comme les hernies discales lombaires ou tendinites du poignet.

Tirer une charge lourde ne sollicite que la chaîne musculaire dorsale. Dans le cas où on la pousse, tous les muscles du corps se mobilisent, ce qui répartit l’effort sur toute la chaîne musculaire. 

Malgré tout, dans le cas où il serait indispensable de tirer le transpalette, privilégier les distances courtes et les charges légères.

Combien de poids peut supporter un transpalette ?

Selon le type et le modèle de transpalette, la capacité nominale de charge d’un transpalette peut monter jusqu’à 3 T. Un transpalette ne doit jamais être chargé au-delà de sa capacité.

Chaque appareil doit être équipé d’une plaque signalétique apposée par le constructeur. Outre l’identification précise de l’engin, la plaque indique précisément sa capacité nominale.

En cas de modification de l’appareil (ajout d’accessoires, par exemple), la plaque signalétique devra obligatoirement être mise à jour.

De même, en cas de plaque signalétique illisible, le transpalette ne devra pas être utilisé.

Comment choisir un transpalette ? 

Chaque transpalette étant optimal pour un type d’usage, il convient de choisir celui qui correspond au mieux à l’emploi souhaité.

Ce choix peut se faire selon plusieurs critères : 

  • hauteur maximale de levée de 20 à 30 cm pour les modèles les plus courants, jusqu’à 80 cm ou 1 m pour les modèles à haute levée ;
  • capacité nominale de charge ;
  • dimension du transpalette : choisir un modèle à fourches courtes (600 à 900 mm) pour les petits colis ou à fourches longues (1,2 à 2 m) pour les charges plus imposantes ;
  • matériau : acier (le plus courant) ou inox selon l’environnement de travail (corrosion) ;
  • roues et galets : nylon (sols durs et charges lourdes), caoutchouc (sols mouillés ou glissants), polyuréthane (souple et silencieux), acier (durable et solide) ou vulkollan (silencieux et résistant) ;
  • manuel ou électrique ; 
  • utilisable en extérieur (tout-terrain). 

Les différents modèles de transpalette 

Le tableau suivant récapitule la large gamme de transpalettes disponible ainsi que leurs avantages et inconvénients :

Dénomination

Avantages

Inconvénients

Transpalette standard / Transpalette manuel

Simplicité d’utilisation

Entretien minimal

Capacité nominale < 2 T

Trajets courts

Transpalette à fourches longues

Charges longues (jusqu’à 3 m)

Encombrement

Transpalette à fourches courtes

Charges longues (jusqu’à 1 m)

Compact

Non adapté aux palettes standard (1,2 m)

Transpalette tout-terrain

Sols inégaux, utilisation extérieure

Plus coûteux qu’un transpalette standard

Transpalette porte-bobines

Transport bobines, tonneaux et fûts

6 catégories

Transpalette acier inox et galvanisé

Environnements corrosifs ou stériles

Plus coûteux qu’un transpalette acier

Transpalette peseur

Balance intégrée

Plus coûteux qu’un transpalette standard

Transpalette haute levée

Levée maximale de 800 mm, jusqu’à 1 m

Fixes (pas de déplacement)

Transpalette électrique

Distances longues

Facile le travail de l’opérateur

Modifications complexes

Coûteux

Table élévatrice

Fonctionnement simple

N’est pas adaptée au transport de charges

Table élévatrice électrique

Fonctionnement simple

Facilite le travail de l’opérateur

N’est pas adaptée au transport de charges

Les accessoires pour transpalettes

La relative simplicité des transpalettes leur permet d’adapter facilement des accessoires en fonction de l’utilisation :

  • butoirs de roues afin de bloquer le transpalette ;
  • plateau à fixer sur le timon pour transformation en poste de travail mobile ;
  • indicateur d’angle de fourche ;
  • adaptateur pour transport de bouteilles ou bidons, à fixer sur le timon.

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Entretien d’un transpalette

Les transpalettes, manuels ou électriques, ne sont pas soumis à l’obligation de vérification générale périodique (VGP). Cependant, comme pour tout équipement de travail, le Code du travail (article R4322-1) impose la mise à disposition de machines maintenues en état de conformité.

De plus, un entretien régulier permet de prolonger la durée de vie de l’appareil. Il est conseillé de souscrire un contrat de maintenance avec un fournisseur de services agréé.

Important :  Avant toute utilisation du transpalette ou au minimum une fois par jour, l’opérateur doit inspecter l’appareil pour détecter tout manquement à la sécurité ou au bon fonctionnement : freins, avertisseurs, charge et branchement de la batterie, système d’arrêt d’urgence et absence de fuites.

Malgré leur conception simple, les transpalettes ont besoin d’ajustements réguliers pour assurer une utilisation optimale. Les niveaux d’huile doivent être rectifiés, les roues nettoyées, les roulements lubrifiés. 

Comment recharger un transpalette électrique ?

La plupart des modèles de transpalette électrique ou semi-électrique fonctionnent avec une batterie de 24 V ou 48 V. Ce sont souvent des batteries plomb-acide, lithium ou gel.

Pour charger la batterie, s’équiper d’un chargeur adapté à la batterie.

Dans le cas d’une batterie plomb-acide, la charge doit avoir lieu dans un local de charge bien ventilé, à cause des émanations d’hydrogène en fin de charge. Il sera aussi nécessaire de vérifier et de compléter, au besoin, le niveau d’électrolyte.

Certains modèles présentent un chargeur de batterie embarqué. Avant de charger, garer le transpalette en toute sécurité (hors du passage, freins, cales…). Puis vérifier que l’installation électrique est adaptée avant de brancher le chargeur dans une prise murale.

exemple de palette en bois

Comment changer le code d'un transpalette électrique ? 

Certains transpalettes électriques sont équipés de digicodes. Cela évite de l’emploi d’une clé de contact (qui peut être perdue) et empêche la manipulation par des opérateurs non autorisés. Selon le boîtier, jusqu’à 10 codes cariste peuvent être programmés.

À la première mise en route, un code administrateur devra être configuré. Un code pour chaque cariste pourra ensuite être enregistré. Par la suite, il sera possible de modifier ou supprimer un code cariste, en passant par le mode administrateur.

Suivre les instructions du manuel d’utilisation du transpalette pour effectuer ces manipulations.

Quelle huile utiliser pour un transpalette manuel ?

Pour garantir le fonctionnement du système de pompage hydraulique, une huile spécifique doit être utilisée. Si elle est trop épaisse, le pompage ne se fera pas correctement. Il est donc conseillé d’opter pour une huile hydraulique ISO VG 32, de viscosité moyenne 32 cSt à 40 °C.

Pour ajouter de l’huile à un transpalette manuel :

  1. 1
    Mettre les fourches en position basse et le transpalette sur le côté.
  2. 2
    Orienter le bouchon de vidange du vérin vers le haut.
  3. 3
    Enlever la vis d’étanchéité.
  4. 4
    Verser l’huile jusqu’au niveau requis.
  5. 5
    Remettre la vis d’étanchéité.
  6. 6
    Rétablir le transpalette.

Lors de l’ajout d’huile hydraulique, il arrive que de l’air entre dans le liquide, ce qui peut gêner le fonctionnement du transpalette.

Pour chasser l’air, il suffit de pomper sur le timon.

Pannes courantes 

Les pannes les plus courantes d’un transpalette sont liées à ses différents modules. Elles peuvent être résolues rapidement la plupart du temps.

Voici les principales pannes rencontrées et quelques pistes pour les résoudre :

  • La fourche ne se lève ou ne s’abaisse plus :
      • Vérifier les vérins, cylindres et pistons hydrauliques.

      • Il manque peut-être de l’huile hydraulique.

      • La chaine est sortie de sa position.

      • Les commandes sont bloquées (transpalette électrique).

  • Le transpalette ne se déplace plus :
      • Les roues ou galets sont usés. 

      • Le frein est bloqué.

  • Il n’est plus possible d’activer le timon :
      • Contrôler le niveau d’huile hydraulique (mise à niveau).

      • Inspecter les joints pour détecter une fuite d’huile.

      • Le mécanisme du timon est grippé.

  • Le transpalette électrique ne répond plus :

    La batterie est déchargée ou débranchée.

Il est aisé de se procurer des rechanges pour les pièces d’usure comme les roues de transpalette, galets, joints… 

Si ces vérifications ne permettent pas de remédier au problème, contacter un technicien de maintenance spécialisé.

Comment changer les galets sur un transpalette ?

Sollicités par le poids de la charge et les frottements sur le sol, les galets de transpalette sont à remplacer régulièrement.

Voici la procédure à suivre pour changer les galets sur un transpalette :

  1. 1
    Entreposer le transpalette dans un espace dégagé et s’équiper de tous les outils nécessaires : marteau, pointeau (petit et grand) et lubrifiant à galets. 
  2. 2
    Coucher le transpalette sur le côté.
  3. 3
    Enlever les galets usagés : desserrer les goupilles et retirer le galet et l’essieu. Répéter l’opération pour tous les galets.
  4. 4
    Vérifier que les galets neufs sont suffisamment lubrifiés avant de les installer.
  5. 5
    Monter les galets neufs : placer le galet à l’emplacement prévu, remettre l’essieu et s’assurer que le galet tourne correctement. Resserrer les goupilles. Faire de même pour les autres galets.

Comment purger un transpalette manuel ? 

Un transpalette est normalement équipé d’une vis de purge pour vidanger l’huile ou éliminer un surplus. Si ce n’est pas le cas, il existe une procédure spécifique à suivre.

Purger un transpalette manuel sans vis de purge :

  1. 1
    Mettre la fourche en position basse.
  2. 2
    Démonter le levier qui contrôle la descente de la fourche.
  3. 3
    Retirer le piston, le ressort et la bille.
  4. 4
    Récupérer l’huile.
  5. 5
    Remonter les pièces dans le sens inverse.

Quelle formation pour conduire un transpalette ?

Aucune habilitation particulière n’est nécessaire pour manipuler un transpalette manuel. Cependant, une formation à l’utilisation est nécessaire, comme pour tout équipement professionnel. La législation est différente concernant les transpalettes électriques.

Comment conduire un transpalette électrique ?

Le cariste doit avoir suivi une formation à l’utilisation du transpalette électrique et aux risques professionnels. Il doit aussi comprendre le manuel d’utilisation du transpalette.

Le poste de conduite comporte des commandes actionnant à la fois le dispositif de levage (élévation/descente) et de mouvement du transpalette (avancer/reculer). Il peut être situé à l’avant ou au milieu de l’engin.

Important :  La conduite d’un transpalette doit se faire sur des voies de circulation aménagées, à la visibilité dégagée. Le conducteur doit respecter les limitations de vitesse et la signalisation en vigueur dans l’entreprise.

Faut-il un CACES pour conduire un transpalette électrique ?

Transpalette électrique à conducteur accompagnant

Il n’y a pas de conduite de l’appareil à proprement parler : l’opérateur doit pousser ou tirer pour déplacer le transpalette. À ce titre, il n’est pas nécessaire de posséder un permis spécial pour manœuvrer ce type d’engin de levage.

Transpalette électrique à conducteur porté

Dans ce cas, l’opérateur devient pilote de l’appareil qui est donc considéré comme un véhicule. La détention d’une attestation de conduite délivrée par le chef d’établissement est obligatoire, ainsi qu’une preuve de formation. La plus reconnue est le CACES cariste, également appelé permis cariste. Il s’agit d’une formation théorique et pratique sur plusieurs jours, validée par un examen. 

Pour les transpalettes électriques, le cariste devra obtenir le CACES R489 catégorie 1A (ex-R389 CACES 1).

A noter : pour aller plus loin, consulter notre article dédié au CACES (formation, examen, catégories, financement).

Acheter un transpalette neuf ou d’occasion

En fonction du budget disponible, on pourra privilégier un type de transpalette, correspondant au besoin, sans options onéreuses inutiles. Au vu de la robustesse de ces appareils, l’achat d’un transpalette d’occasion peut aussi s’envisager.

Prix moyen d'achat d’un transpalette

Le prix d’un transpalette varie énormément en fonction de ses équipements, de ses capacités et de son matériau de fabrication. L’occasion est un moyen d’acquérir un transpalette électrique pas cher.

Dénomination

Prix d’achat moyen neuf

Prix d’achat moyen occasion

Transpalette manuel

de 200 € à 350 €

à partir de 100 €

Transpalette à fourches longues

de 500 € à 1 000 €

à partir de 300 €

Transpalette à fourches courtes

de 200 € à 500 €

de 100 € à 200 €

Transpalette tout terrain

de l’ordre de 1 000 €

à partir de 500 €

Transpalette porte-bobines

de 1 000 € à 1 500 €

à partir de 300 €

Transpalette acier inox et galvanisé

de 1 500 € à 3 000 €

à partir de 500 €

Transpalette peseur

de 500 € à 1 500 €

de 300 € à 750 €

Transpalette haute levée

de 500 € à 1 000 €

de 300 € à 700 €

Transpalette électrique / Transpalette autoporté

de 1 000 € à 3 000 €

de 700 € à 2 000 €

Table élévatrice

de 200 € à 400 €

de 100 € à 300 €

Table élévatrice électrique

de l’ordre de 1 000 €

de l’ordre de 800 €

Pour l’achat d’un transpalette d'occasion, vérifier l’état général de l’appareil et réclamer les documents obligatoires tels que carnet de maintenance et attestation de conformité. La location de transpalette est également envisageable si l’utilisation est ponctuelle.

Marques de fournisseurs de transpalette

Il existe beaucoup de fabricants de transpalettes. Certains sont spécialisés dans les appareils de manutention, d’autres se diversifient dans plusieurs secteurs industriels. 

Voici une sélection des plus connus :

  • Still 
  • Fenwick
  • Caterpillar
  • Hyster
  • Manitou
  • Mitsubishi 
  • Toyota 
  • Yale
  • Crown
  • Jungheinrich

Les transpalettes, manuels ou électriques, sont les engins de manutention de base. Selon les besoins de l’entreprise, le recours à d’autres appareils de levage, tels qu’un transpalette gerbeur ou un chariot élévateur électrique pourra être nécessaire.